•• L'esprit de la Paix

Au sein d'Elariä, vous pouvez parfois croiser l'Esprit de la Paix.
Si vous désirez lui demander une faveur ou le rencontrer, laissez un message à la suite de celui-ci.
De même si vous voulez lui offrir votre aide. L'esprit vous répondra ou non, en fonction de votre affinité avec lui.

Les Pandörians Alphas n'ont pas accès à Elariä.

« Ô esprit de la Paix, si j'en viens à venir troubler votre tranquillité c'est parce que tout va au plus mal dans le plus mauvais des mondes possibles. Oui, tout va au plus mal. Avant nous n'avions pour menace que Pandore et ses acolytes. Or depuis la venue du Brise-Ciel, il n'est plus possible de vivre convenablement. Avant, personne ne pouvait dormir en toute tranquillité et pour cause, les Pandörians ainsi que les Abominations pouvaient venir nous martyriser à tout moment. Mais maintenant, il est tout simplement impossible de fermer les yeux. Non seulement nous pouvons toujours craindre une attaque de Pandore mais pour couronner le tout, s'ajoute à cela la peur de mourir brûlé à tout moment.
Les coups de sabots, les morsures, les persécutions morales. Déjà que nous ne sommes pas fait pour ça, nous devons en plus craindre les flammes. Il ne manquerait plus que les résistants se mettent aussi à s'en prendre à nous, simples Falöniens sans défenses ! Je sais que l'on ne peut espérer des miracles et je ne vous en demanderai pas un.
On ne pourra jamais oublier tout ce que l'on a vécu et enduré mais un peu de calme serait bien plus que bienvenu. Aimer nos bourreaux n'est pas possible. Comment aimer ceux qui ont causé tant de souffrance et de tristesse ? En revanche une paix serait tout à fait possible. Bien évidemment il resterait encore nombre de tensions mais si seulement on pouvait juste cesser de se battre. Je ne suis ni chez Pandore ni chez les Résistants. Je ne suis qu'envahie par la peur que tout ne s'arrêtera jamais. J'ai peur pour moi, pour ces guerriers, pour les générations à venir, au point d'en oublier de profiter de la vie. Est-ce ça la vie ? La souffrance, la tristesse et la peur ?
Je vous en pris Ô grand esprit, veuillez vous pencher un peu sur notre cas, je serai prête à tout pour vous aider. A tout, je vous le promet sur cette vie qui m'est pourtant chère. »